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jeudi 30 septembre 2010

Der Frieden ist wieder unter Gefahr

Der Gefahr kommt nicht aus dem Krieg, aber aus der Nachlässigkeit gegenüber den anderen. Die Umweltverschlechterung ist ein gutes Beispiel ... Es fehlt noch ein Ethik des Friedens.

Der Missbrauch der Technologie (Atomkraft, Anwendung von Information Technologien bei Terroristen …) steht oft auf dem Spiel. Das ist aber nicht die erste Ursache. Die erste ist der Mensch selbst. Das Prinzip Verantwortung von Hans Jonas (eine „Ethik für die technologische Zivilisation“) ist nie so wichtig wie heute geworden. Die Nachlässigkeit bedroht unsere Zukunft.


Neben dem humanitären und Entwicklungs-Hilfe, übersehen wir einen Feld wo Nicht-Regierungsorganisationen ihre Zuständigkeit ergänzen sollten : die Bewahrung oder die Förderung einer Welt (i.e. eine Menschlichkeit) mit moralischen Werten.

Die heutigen inneren und Kooperations-Politk der Staaten fördern die Freundlichkeit zwischen der Menschen, aber kein Ethik der Zusammenarbeit zu Gunsten eines weltweiten Frieden. Ohne moralische Prinzipen geben es keine Perspektiven für eine Verstärkung der Beziehungen zwischen den Leuten.

Je mehr die Leute Werten verteilen, desto besser sind die Bedingungen für den Aufbau des Friedens zusammengestellt.

Frieden ist nicht das Ergebnis einer bestimmten Strategie, kein Taktik. Er ist nur die natürliche Folge aus einem geduldigen Jahren lang Prozess, in dem wir bemühen uns tiefer kennen zu lernen.

Mehrere freiwillige Initiativen zur Unterstützung der menschliche Link im privaten so wie im beruflichen Umfeld wären von hohem Beitrag in diesem wertvollen Prozess.

jeudi 23 septembre 2010

Restaurer en microfinance, les pratiques bancaires qui ont contribué hier au dynamisme local

Sur base de mes expériences du terrain, j’en arrive de plus en plus à la conclusion que rentabiliser la microfinance est un exercice extrêmment difficile. Il faut concevoir la microfinance comme une phase d’incubation. Une fois qu’elle devient rentable, ce n’est déjà presque plus de la microfinance, mais tout simplement de la finance conventionnelle (façon "street bank"). Cela ne me pose pas de problème particulier, si cette dernière garde l’esprit (son éthique originelle).

Ainsi, la microfinance ne devrait pas être conçue comme une finalité en soi, mais comme un vecteur de moralisation de la finance.

La microfinance apparaît comme la découverte des 30 dernières années, alors que ce n’est rien de plus que le phénomène de bancarisation que nous avons connu dans la 2ème moitié du 19ème siècle en Europe, avec la naissance des banques mutualistes. De la « bonne vieille » finance dans un esprit solidaire orientée vers la collecte de l’épargne et la distribution de crédits pour le financement d’activités de proximité et de projets d’intérêt général.

La communauté financière a tout simplement oublié quel est le métier de base d’une banque.

Global Depositary Receipts
Songeons au phénomène des Global Depositary Receipts (une spécialité de Citibank, semble-t'il), à savoir des certificats représentant des actions de sociétés des économies émergentes.

Le GDR est un instrument qui permet de contourner certains obstacles juridiques (pas de droit de vote, par ex., mais tous les autres droits sont normalement garantis). Dès lors que la juridiction devient plus ouverte et permet aux étrangers d’entrer directement dans le capital des sociétés, l’intérêt du GDR s’atténue. Il s’agit d’un instrument pensé pour être provisoire et non pour être pérenne. Il en va probablement de la microfinance : « une microfinance réussie est une microfinance qui a disparu … », me disait une connaissance du milieu financier.

De fait, la microfinance a une visée qui en quelque sorte la dépasse : le micro-entrepreneur doit ne pas rester à ce stade. S’il le demeure, c’est que l’économie qui l’entoure reste peu étoffée, manque de structure et/ou est affligé de conflits … ou bien qu’il n’a pas su faire prospérer son affaire.

Méthode du scoring
On peut néanmoins se féliciter des initiatives de l’UE, notamment au travers de la mise en place en 2009 d’un fonds de quelques 100 millions d’Euros., dédié à du micro-crédit.

Mais là encore, ce que l’on baptise microfinance est tout simplement du crédit, qui devrait être délivré par les banques traditionnelles … mais que plus aucune d’entre elles ne veut/ne peut accorder compte-tenu des systèmes de scoring (sur base d’une fiche signalétique Client, le système informatique définit un profil de risque et par conséquent la somme maximale de crédit que le client est en droit de recevoir). Il est très difficile pour un Private Banker de sortir du scoring, car il lui faut alors justifier l'écart.

Enfin, à noter que le scoring exclut une partie des conditions non financières du projet, des éléments intangibles (parcours professionnel du client , son réseau de relations …)

Avec la microfinance d’aujourd'hui, on réinvente tout simplement ce qu’était la banque d’hier.
Eternel recommencement ….

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